Selon de nouvelles révélations de The Intercept, la NSA couvre 70% des réseaux mobiles de la planète. Un espionnage massif, qu'elle réussit en infiltrant directement les grands opérateurs mondiaux.
Les révélations sur la NSA continuent. L'agence nationale de surveillance américaine surveillait 70% des réseaux mobiles du monde en mai 2012 avance The Intercept, le magazine qui présente les documents sur la NSA révélés par Edward Snowden. L'ex-agent de la NSA accusée l'organisme d'espionner les données personnelles de millions de citoyens.
Cette "couverture" massive est réalisée via un programme baptisé "AuroraGold", lancé en 2011. Concrètement, ces nouvelles révélations signifient que l'organisme a réussi à collecter les informations de 701 réseaux cellulaires sur 985
ICYMI: How NSA Hacks Cellphone Networks Worldwide: http://t.co/gyUZ4ISkBU New Snowden docs: http://t.co/v1t3dD8CBS pic.twitter.com/6w5Q1vKchD
— The Intercept (@the_intercept) 6 Décembre 2014
AuroraGold est un programme piloté par deux entités de la NSA: Wireless Portofolio Management Office et le Target Technology Center. Son but est d'obtenir des informations pour faciliter d'éventuels espionnages dans le futur.
Pour arriver à ses fins, la NSA espionne les emails de plus de 1201 comptes d'employés d'opérateurs mondiaux. L'objectif est de mettre la main sur des fichiers permettant d'obtenir des identifiants ou des données informatiques sur la zone où est localisé un téléphone. Des informations qui doivent permettre à la NSA d'introduire des failles dans les réseaux pour les espionner plus facilement dans le futur.
Mais la NSA ne s'arrête pas là. L'organisme sait que les opérateurs cherchent constamment à développer des nouvelles technologies. Pour ne pas être en retard, l'organisme de surveillance espionne donc les avancées des réseaux mobiles, histoire d'être fin prête lorsqu'il faudra les pirater pour les espionner.
Un travail réalisé avec l'aide du service de renseignements britannique, le GCHQ. Interrogés par The Intercep, les deux organismes se contentent de clamer rester "dans les limites de la légalité" avec des méthodes visant les terroristes ou trafiquant d'armes...
AuroraGold est un programme piloté par deux entités de la NSA: Wireless Portofolio Management Office et le Target Technology Center. Son but est d'obtenir des informations pour faciliter d'éventuels espionnages dans le futur.
Pour arriver à ses fins, la NSA espionne les emails de plus de 1201 comptes d'employés d'opérateurs mondiaux. L'objectif est de mettre la main sur des fichiers permettant d'obtenir des identifiants ou des données informatiques sur la zone où est localisé un téléphone. Des informations qui doivent permettre à la NSA d'introduire des failles dans les réseaux pour les espionner plus facilement dans le futur.
Mais la NSA ne s'arrête pas là. L'organisme sait que les opérateurs cherchent constamment à développer des nouvelles technologies. Pour ne pas être en retard, l'organisme de surveillance espionne donc les avancées des réseaux mobiles, histoire d'être fin prête lorsqu'il faudra les pirater pour les espionner.
AuroraGold est un programme piloté par deux entités de la NSA: Wireless Portofolio Management Office et le Target Technology Center. Son but est d'obtenir des informations pour faciliter d'éventuels espionnages dans le futur.
Pour arriver à ses fins, la NSA espionne les emails de plus de 1201 comptes d'employés d'opérateurs mondiaux. L'objectif est de mettre la main sur des fichiers permettant d'obtenir des identifiants ou des données informatiques sur la zone où est localisé un téléphone. Des informations qui doivent permettre à la NSA d'introduire des failles dans les réseaux pour les espionner plus facilement dans le futur.
Mais la NSA ne s'arrête pas là. L'organisme sait que les opérateurs cherchent constamment à développer des nouvelles technologies. Pour ne pas être en retard, l'organisme de surveillance espionne donc les avancées des réseaux mobiles, histoire d'être fin prête lorsqu'il faudra les pirater pour les espionner.
NSA on world phone networks: "How do we introduce vulnerabilities where they don't yet exist?" http://t.co/gyUZ4ISkBU pic.twitter.com/xC9qVWBslq
— The Intercept (@the_intercept) 4 Décembre 2014