Aucun débordement, pas d'intrusion, pas de matériel dérobé, une équipe médicale pas du tout sous le choc, les révélations de ces soignants de la Pitié Salpêtrière interrogés par BFM vont à l'encontre des dires de Monsieur C. Castaner qui prétend tout le contraire. Non, Monsieur le Ministre de l'intérieur, l'hôpital n'a pas été "attaqué".
"Ils fuyaient quelque chose. Cela n'a pas perturbé le service, ça s'est calmé très vite.
Je ne pense pas qu'on ait échappé a une catastrophe, il y avait les vigiles.
On ne s'est pas sentis plus agressé que ça."
Aucun vol de matériel à ma connaissance."
Un médecin de la Pitié Salpêtrière fait littéralement exploser le discours du gouvernement : "il n'y a pas eu de débordement", "pas d'intrusion", "l'équipe n'est pas du tout choquée". pic.twitter.com/QNgtwx1mbc
— Nantes Révoltée (@Nantes_Revoltee) 2 mai 2019
Pitié Salpêtrière : "On ne s'est pas senti en danger plus que ça" (aide-soignante) pic.twitter.com/dbSTvvDeAc
— Camille Tweet (@CamilleTweet2) 2 mai 2019
@biloute75016
— Nathalie Renard 🐝🐝🐝🐝🐝 (@nrenard75) 2 mai 2019
Image rare d'un groupe de 2.000 bolcheviks, armés jusqu'aux dents, qui forcent la porte du service de réanimation d'un hôpital après avoir tué 200 policiers et mangé des enfants...#PoseTonIntox#Castaner #PitieSalpetriere pic.twitter.com/njRFb4GWNx
Ici, à la Pitié-Salpêtrière, on a attaqué un hôpital.
— Christophe Castaner (@CCastaner) 1 mai 2019
On a agressé son personnel soignant. Et on a blessé un policier mobilisé pour le protéger.
Indéfectible soutien à nos forces de l’ordre : elles sont la fierté de la République. pic.twitter.com/BjXYFw2XzR
Étant donné qu'une partie des vidéos de l'hôpital Salpêtrière disparaissent "magiquement" de Twitter, nous la réuploadons. 🎥
— Le Discord insoumis (@Action_Insoumis) 1 mai 2019
La propagande médiatique au service du pouvoir qui fait croire à une "attaque" de l'hôpital pour stigmatiser les manifestants est indigne. 🤥 pic.twitter.com/Af3y4LdTgR
Dramatiser les évènements est une preuve de faiblesse. Cela sert aussi à diaboliser un mouvement qui dure... qui dure... qui dure...
On n'en serait jamais arrivé là si, dès les premiers jours de la crise, Macron avait décidé de geler les prix à la pompe sur une période donnée afin de réfléchir à des solutions sur le pouvoir d'achat.
Joseph Kirchner pour WikiStrike