Au cours d'un débat avec le journaliste Geoffroy Lejeune, Sandrine Rousseau a déclaré que les antifas «n'ont jamais frappé personne», avant de préciser qu'elle condamnait la violence «d'où qu'elle vienne».
L'ancienne candidate à la primaire EELV pour la présidentielle s'est livrée le 2 janvier sur BFMTV à une violente charge contre Eric Zemmour, dont elle estime «qu'il légitime une forme de violence». Face au directeur de la rédaction de Valeurs actuelles Geoffroy Lejeune, elle est revenue sur les intimidations dont elle dit avoir fait l'objet fin décembre et pour lesquelles elle a porté plainte.
"Mais les antifas n'ont jamais frappé personne"
«J'ai eu ma façade couverte d'autocollants d'Eric Zemmour, des gens qui ont sonné en pleine nuit, la boîte aux lettres remplie de tracts d'Eric Zemmour. Je pense qu'à une heure et demi du matin c'est pas complétement anodin», a déclaré l'écologiste. «La garantie de la démocratie c'est que ma parole soit respectée», a-t-elle ajouté, estimant qu'il ne devait y avoir de pressions à «aucuns des domiciles des représentants et des représentantes politiques».